Après 20 ans de mariage et cinq enfants, il décide de faire un test de paternité : "Aucun d'entre eux n'est mon enfant"
On ne naît pas père, on le devient jour après jour, en construisant une relation avec ses enfants et en apprenant à les aimer inconditionnellement. Et l'amour d'un père pour ses enfants n'a pas de limites, à tel point qu'il est prêt à tout pour les protéger et s'assurer qu'ils sont heureux. Quand un père élève un enfant, le prend par la main sur le chemin de l'âge adulte, quelle importance a vraiment la biologie ? Un père peut aimer son enfant même s'il ne l'a pas conçu, cela ne fait aucun doute. Mais que se passe-t-il si un père élève un enfant en croyant qu'il est le sien, pour découvrir des années plus tard qu'il n'en est rien ?
L'histoire de cet homme, partagée sur Facebook par le ministre d'une mission nigériane, ouvre un débat animé sur le sujet.
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"L'homme a 57 ans, il a testé ses cinq enfants et aucun des enfants n'était le sien. Il est marié depuis vingt ans. On lui dit "d'être un homme". OK ", écrit ainsi Henry Shield, ancien assistant du ministre communautaire nigérian Bala Mohammed, dans un post facebook. À l'âge de 57 ans, après vingt ans de mariage, l'homme dont parle Henry a décidé de faire tester la paternité de ses cinq enfants. Lorsque les résultats sont arrivés, la douche froide : aucun d'entre eux n'était réellement ses enfants. Inévitablement, s'ensuivent la crise conjugale puis le débat animé sur le réseau social autour de la nouvelle, avec des réactions mitigées des utilisateurs.
La plupart ont ressenti de la solidarité envers l'homme. Cependant, certains ont émis des doutes : pourquoi l'homme n'aurait-il passé le test qu'après vingt ans de mariage ? Quoi qu'il en soit, l'avis unanime des utilisateurs est que la découverte ne doit pas bouleverser sa relation avec ses enfants : un père reste un père, même si nous ne partageons pas les mêmes gènes avec lui.
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Cette histoire est l'un des nombreux témoignages des risques liés à la réalisation d'un examen de cette ampleur ; nous rappelons, par exemple, l'homme nigérian qui, dans des circonstances similaires, a découvert qu'il n'était pas le père de sa fille de 7 ans. Mais il y a aussi des histoires plus inhabituelles, comme celle d'un couple de jeunes, tous deux enfants adoptés, qui, après une relation de six ans, ont découvert qu'ils étaient frères et sœurs. Après avoir reçu les résultats du test, la femme a partagé l'histoire dans un post sur Reddit, indécise quant à savoir si elle devait partager l'impressionnante nouvelle avec son petit ami.
Bref, en certaines occasions, la méconnaissance est le meilleur allié de la sérénité et de la stabilité. Ou est-il préférable de supporter le chaos et l'inconfort d'une vérité qui dérange ? Qu'en pensez-vous ?
